CAUET :
Écrasé sur scène par un bus, Cauet se retrouve au purgatoire. Il remonte le temps et retrace les étapes fortes de sa vie pour prouver qu’il mérite bien sa place au Paradis … ou pas.
Depuis son enfance, en passant par l’adolescence, les filles, l’arrivée à Paris, la galère, les débuts de la gloire, les femmes et les enfants, Cauet sans concession va rire de tout et surtout de lui-même !
Dans un spectacle hilarant pour toute la famille !
CLAIR JAZ :
Accro ou hermétique aux multiples réseaux de communication, chacun se retrouvera dans ce nouveau spectacle bien ancré dans son époque.
Au cours d’une hilarante réunion des TAA (Téléphones Addicts Anonymes), Clair Jaz nous démontre l’absurdité de nos addictions aux nouveaux modes de communication.
Si, comme elle, vous envoyez un SMS pour prévenir que vous allez envoyer un mail et qu’ensuite vous appelez pour savoir s’il a bien été réceptionné, alors il est grand temps de courir à la Comédie Contrescarpe pour vous désintoxiquer par le rire.
Clair Jaz : une force comique rare, un univers original.
C’est pas du one-woman, c’est pas du stand-up, c’est du Clair Jaz !
JARRY :
Jarry, sous ses aspects d’hurluberlu, met le doigt sur un sujet sensible de la société : la recherche d’emploi.
Les statistiques montrent qu’une personne change en moyenne sept fois de métier dans sa vie. Il part de ce postulat pour écrire son spectacle et en fait le fil conducteur.
Il a alors testé de nombreux métiers pendant 48 à 72h afin de partager un quotidien différent du sien : caissier chez Lidl, maître-nageur, membre du GIGN, prêtre… Un réel travail d’investigation qui lui a permis de faire ressortir le plus drôle de chaque situation.
Jarry transforme la salle de spectacle en salle d’attente Pôle Emploi et nous livre ses différentes expériences professionnelles.
SELLIG :
Sellig remonte sur scène avec un nouveau spectacle « Episode 4 ».
Avec toujours autant d’énergie, d’imagination et d’humour il décrit avec une justesse surprenante des scènes du quotidien ou chacun s’y retrouve :
Quoi faire le dimanche, prendre le train en période rouge, le tout entrecoupé d’une page de pub pleine de surprises. On retrouvera également les aventures de Bernard, le beau-frère de Sellig lors d’un réveillon catastrophique de la St Sylvestre. Pas besoin d’avoir vu les épisodes précédents pour rire aux larmes avec l’Episode 4 de Sellig.
TANO :
Tano, la preuve par l’absurde.
Au jeu des comparaisons, ou d’une filiation avec d’illustres anciens, Tano se retrouve bien seul. Ne cherchez pas, il est inclassable et ne ressemble à personne, excepté peut-être Desproges pour son côté mal réveillé. Croulant sous une pluie de récompenses, l’ébouriffé traine sur scène son détachement et s’amuse à promener son auditoire de sujet en sujet, tous plus incohérents les uns que les autres.
Une véritable bouffée d’oxygène dans le monde du one man show, désormais saturé de galeries de portraits plus ou moins convenus. Avec l’absurde comme credo, il égrène les personnages déjantés, de l’esthéticienne hystérique spécialiste de la Provence à l’oncle mythomane corse en passant par une prostituée de luxe avant-gardiste. La folie habite chaque portrait et son sens de l’observation des petits détails est un prétexte à l’humour décalé, entre Monthy Python et Dino Risi.
Ce fou de cinéma excelle sur scène. Avant le grand saut sur les écrans ?
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